Le cabinet

Vulcain-Marielle-portrait

Diplômée depuis le 12 décembre 2008, j’ai commencé mon exercice professionnel en tant qu’avocat collaborateur auprès de deux cabinets d’avocats vannetais, convaincue de la nécessité de se former auprès de confrères expérimentés.

J’ai collaboré avec Maître Hervé GRUNBERG, Maître Françoise GRUNBERG-MOISSARD et Maître Martine BELLEC, pendant un an et demi, et au contact desquels j’ai appris la rigueur du métier ; puis avec Maître Philippe LAUDRAIN, spécialiste en droit social, et Maître Vincent GICQUEL, son associé, qui m’ont permis d’acquérir une autonomie dans la gestion des dossiers confiés, et de m’épanouir dans cette profession.

En charge des dossiers de droit du travail, du contentieux de la sécurité sociale, et des affaires de droit civil général, j’ai développé une solide expérience dans ces domaines d’activité, pour une clientèle essentiellement composée de particuliers et de TPE/PME.

Je vous accueille désormais dans mon propre cabinet pour vous accompagner lorsque vous faites face à une situation conflictuelle, et vous aider à la traverser.

J’aime à penser que la saisine d’une juridiction n’est pas une finalité pour l’avocat, qui possède aujourd’hui de nombreux outils pour désamorcer les conflits en amont.

J’estime qu’un avocat doit avant tout écouter son client avant de lui proposer la solution juridique qui lui conviendra le mieux, et faire preuve de compréhension et de bienveillance.

J’accorde ainsi beaucoup d’importance à la relation humaine, et tâche d’être réactive et disponible.

Modes amiables de règlement des différends (MARD)

Avant d’agir en Justice, j’ai à cœur de tout mettre en œuvre pour trouver une solution amiable avec l’autre partie.

Je mets donc en avant auprès de mes clients, l’importance de s’engager dans un réel processus d’apaisement du conflit, afin de le résoudre autrement que par la dureté d’un procès, à l’issue duquel il n’est d’ailleurs pas acquis que les parties soient satisfaites de la décision rendue.

Les MARD sont depuis quelques années maintenant, encouragés tant par la législation française, que les normes européennes.

Ils désignent ainsi tous les procédés qui ont pour objet de régler un conflit sans saisir la Justice. Les parties décident de leur accord, seules ou avec l’aide de leurs avocats ou d’un tiers.

Le tiers sera un conciliateur de Justice, ou un médiateur. L’avocat aura alors pour rôle de conseiller et d’accompagner son client, puis éventuellement de rédiger l’accord trouvé.

Des outils participatifs et collaboratifs

L’avocat, acteur du procédé amiable, dispose de deux outils qui lui sont propres, pour permettre la négociation entre les parties :

  • Un outil procédural qui figure au code de procédure civile : la procédure participative, qui est prévue par les articles 2062 et suivants du Code civil et 1542 et suivants du code de procédure civile.
  • Un outil hors du commun auquel il faut préalablement se former pour pouvoir le pratiquer : le processus collaboratif.

Je me suis formée au processus (ou droit) collaboratif en 2015, et il a emporté ma conviction.

Qu’est-ce que le droit collaboratif ?

 

Il s’agit d’un processus alternatif qui est mis en place par des avocats formés, avant toute procédure judiciaire, et qui repose sur l’engagement contractuel des parties et de leurs avocats de respecter les principes directeurs du droit collaboratif afin de rechercher de bonne foi, lors de rencontres à quatre, une solution négociée reposant sur la satisfaction des intérêts de chacune des parties, si nécessaire avec l’intervention de personnes extérieures neutres désignées d’un commun accord par les parties (expert-comptable, notaire…).

L’idée est que les parties accompagnées par leurs avocats, trouvent une solution mutuellement acceptable à leur différend. Cette solution se dessinera au fur et à mesure des rendez-vous à quatre.

C’est un processus confidentiel auquel les parties doivent consentir. Il se déroule selon une structure et des étapes bien précises qui seront mises en œuvre conjointement par les avocats.

Pour plus d’informations : https://www.droit-collaboratif.org